Pour l’ensemble de l’écosystème publicitaire, la mesure de l’attention est l’un des grands sujets de 2024. Pour autant, sa définition et les normes associées ne font pas encore l’objet d’un consensus, notamment en matière de digital.
En complément des différents travaux menés par le CESP et l’IREP, le SRI a souhaité contribuer en dressant un état des lieux de cet indicateur en devenir que nous mettons aujourd’hui à la disposition du marché dans un nouvel opus de notre série de ‘Pense pas Bête’.
Pourquoi ce critère émerge maintenant ? Comment le mesurer sur des inventaires publicitaires digitaux ? Quelles méthodologies et variables en déterminent ou prédisent les différents niveaux ? Quels sont les différents acteurs opérant en France ? Le SRI aborde ces questions de manière agnostique et montre l’importance de construire une courbe d’apprentissage pour comprendre les interactions entre différents facteurs : spécificités du support d’exposition, impact de la marque, création ou encore les caractéristiques de l’audience.
Pour Corinne Mrejen, présidente du SRI : « La mesure de l’attention, complémentaire des critères de qualité, de contexte et d’audience, ouvre d’intéressantes perspectives pour le futur de la publicité́ digitale. Mais les nombreuses questions posées par notre Pense pas bête démontrent aussi la complexité́ de cette mesure et la nécessité de travailler collectivement à une forme de normalisation de ces indicateurs. »
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